LE SUÉDOIS
Le massage suédois se déroule selon les besoins / la demande du receveur, mais l’approche est toujours la même. Il se pratique sur table avec de l’huile de massage. Il est très adaptable selon les besoins du client.
Travailler graduellement chaque muscle pour réparer les tensions
Tout d’abord, une identification de l’état des muscles de la zone à traiter. Les tissus sont ensuite travaillés graduellement, des plans les plus superficiels aux plus profonds. Cette analyse permet de repérer les tensions et les résistances physiques.
Le massage est effectué zone par zone afin de permettre l’intégration par le receveur. Les actions sont cependant fluides afin de maintenir la cohérence au niveau des tissus. La pression doit être adaptée au besoin du receveur, afin d’être juste et efficace, mais toujours dans la limite acceptée par le receveur.
À la fin du massage, le receveur doit avoir récupéré une fonctionnalité optimale des zones qui auront été travaillées. La prise de conscience par le receveur des ses zones de confort et de résistance, permet une auto-correction progressive à l’issue de la séance.
Pour qui ?
Principalement les sportifs pour se remettre d’un effort physique, mais aussi destiné aux personnes très sédentaires et qui sollicitent peu leurs muscles.
Selon la façon dont le massage est donné, il peut permettre aussi un regain d’énergie pour les personnes en petite forme (en hiver par exemple).
Pour quoi ?
- Pour la peau : le massage assouplit la peau, stimule la circulation et favorise la régénération des cellules,
- Pour les muscles : le massage suédois tonifie et détend les muscles après un effort, en particulier les muscles spécifiquement sollicités, mais aussi les muscles antagonistes afin de permettre une meilleure récupération,
- Sur le système nerveux : le massage stimule les terminaisons et entraîne une détente générale,
- Sur le psychisme, le massage amène à un état de conscience serein.
Contre-indications :
- Fièvre / inflammation,
- Thrombose ou Phlébite,
- Affection cardiaque,
- Intervention chirurgicale majeure récente,
- Infection virale ou bactérienne (grippe…),
- Cancer (sur avis du médecin traitant),
- Grossesse (3 premiers mois),
- Dépression non traitée.